Venez imaginer et participer à un programme de recherche sur la mise en œuvre d’un car diesel transformé en car hydrogène sur une ligne inter-urbaine entre Rouen et Evreux.
Un car transformé pour rouler avec de l’hydrogène apparaît sur les routes de Normandie à partir de janvier 2022 entre Evreux et Rouen. Pourquoi et comment ça marche ? Quelle recherche mener avec les futurs passagers et usagers de ce nouveau mode de transport ainsi qu’avec les riverains de son trajet ?
Le Dôme et Transdev Normandie vous invitent à contribuer à une recherche participative sur la perception et l’acceptation d’un car à Hydrogène. Venez participer aux ateliers du Lundi 11 octobre 18h à Rouen et du Samedi 16 octobre 18h à Evreux.
Cette démarche unique et originale offre l’opportunité à chacun de s’engager dans une recherche aux côtés des équipes de recherche, des entreprises et associations engagées dans cette innovation unique en Europe.
Cet atelier sera l’occasion de s’informer sur les usages et le fonctionnement de l’hydrogène comme vecteur énergétique.
Horaires à venir.
Entre temps d’observations, d’échanges et de créations, Le Parlement des enfants offre aux plus jeunes l’occasion de confronter leur perception sur les espaces habités, naturels et vivants pour imaginer un avenir commun et poétique en ville.
Il ouvre les regards sur notre environnement, notre cadre de vie et questionne la relation que nous entretenons aux éléments humains, naturels, vivants, matériels. Quels espaces d’existence sont donnés aux enfants quotidiennement ? Quels rapports entretiennent-ils à l’école, au logement individuel, aux immeubles d’habitation, à l’espace public ? Comment perçoivent-ils des éléments essentiels comme l’air, l’eau ou la végétation dans les lieux qu’ils habitent, parcourent, occupent ?
Cet atelier, entre observations, échanges et imagination, donne l’occasion aux enfants participant de prendre conscience de l’espace qu’ils habitent, d’exprimer leur ressenti et de rendre visible leurs perceptions pour imaginer collectivement un avenir poétique et commun en ville.
Après le confinement, nous étions nombreux à penser que le monde d’après serait accueillant pour les mobilités douces, qu’une transition était amorcée pour des routes plus sûres, partagées et accueillant davantage de vélos. En effet, les pays où les cyclistes sont les plus nombreux sur la route, sont également ceux où il y a le moins d’accidents par kilomètre parcouru à bicyclette.
Nous étions nombreux à avoir cru ou rêvé, qu’avec le confinement nous resterions tous avec nos nouveaux modes de mobilités douces, que les solidarités qui se sont révélées lors du confinement se seraient étendues au domaine de la route, … Mais en fait non.
Comment se débarrasser des véhicules garés sur les pistes cyclables ? Comment évacuer les espaces préventifs devant les feux tricolores ? Avec quel outil tronçonner les portières qui s’ouvrent par manque de vigilance ? Peut-on exempter les conducteurs qui vous doublent de trop prêt ? Dans un esprit à la fois potache mais militant, provocateur mais intriguant, radical mais bienveillant, nous vous proposons de venir imaginer, concevoir et prototyper les armes d’autodéfenses qui seront dès demain nécessaires aux cyclistes pour survivre à la loi de la route.
Les objectifs revendiqués de l’atelier sont d’éclairer par la créativité les enjeux et les tensions qui sont liés à la cohabitation entre différents modes de mobilités, de libérer aussi la parole et d’incarner le conflit pour pouvoir le dépasser, de maintenir la violence dans le domaine de la fiction pour s’en prémunir comme pour la prévenir. La rencontre sera également l’occasion de rencontrer et découvrir différents acteurs qui promeuvent la mobilité à vélo en Région comme en France, tout en s’initiant aux méthodes de design fiction comme aux outils du FabLab.
On vous attend le vendredi soir de 19h30 à 22h30 et le samedi à 10h30, 14h et 15h30 et 17h pour enrichir ou prolonger les projet de la veille. Aucune connaissance ou compétence particulière, notamment en conception assistée par ordinateur, n’est nécessaire pour participer à cet atelier. Savoir faire du vélo est un plus et maker·e·s bienvenu·e·s.
Phebe est présent au Turfu Festival pour la troisième année consécutive.
Si vous l’avez manqué l’année dernière, Phebe est un programme qui anticipe les besoins pour faciliter et surtout fluidifier la mobilité. Phebe est un objet conversationnel qui est positionné comme le chaînon manquant entre une appli et l’IA profonde.
Le numérique est omniprésent, mais finalement peu interopérable, en ce sens que tous nos doudous connectés ont quand même du mal à fonctionner avec d’autres produits existants (ou futurs) sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Par ailleurs, la question de la donnée, des datas, est enfin devenue un sujet de science et de société.
C’est là que Phebe matérialise un questionnement à la fois simple et ambitieux : sommes-nous prêt à mettre à disposition de nombreuses données personnelles si elles s’avèrent utiles pour nous fournir des prestations qui anticipent nos besoins et facilitent la vie au quotidien ? Accepterions-nous de payer pour nous voir proposer des services, « poussés » au bon moment, forts de la connaissance de Phebe de son utilisateur et de son catalogue de services ?
Un modèle faisant finalement le pari d’une relation adulte et consentie.
En 2017 et 2018, outre les démonstrations faites le week-end, des ateliers pendant la semaine avaient permis aux participants de co-créer des scénarios d’usages, ou encore de se pencher sur la question des dialogues et de la relation conversationnelle.
Cette année, sur le temps du week-end, vous aurez la possibilité de tester Phebe, en situation réelle, dans une voiture. Expérimentez la mécanique des services et les dialogues, avec la version 3 du prototype. Vos courses ne vous seront pas livrées, mais vous aurez un bon aperçu de l’expérience utilisateur proposée par Phebe !
Places limitées.
Bien plus qu’un simple projet de création d’un kit open-source
d’électrification de vélo !
Par le biais d’un sujet passionnant, l’électrification d’un vélo,
“Hope & Bike” propose à des jeunes adultes issus de milieux
défavorisés d’acquérir puis de transmettre des compétences
et un savoir-faire en mécanique, électronique, conception et
fabrication assistée par ordinateur.
Un projet à forte valeur sociale mais aussi sociétale puisqu’il
est question de rendre financièrement et techniquement
accessible un moyen de transport propre allant dans le sens
d’une mobilité douce à l’échelle urbaine et périurbaine. “Hope
and Bike” favorise en cela la mobilité professionnelle de jeunes
inscrits dans un processus d’insertion.
Phebe est un programme qui anticipe les besoins pour faciliter
et surtout fluidifier la mobilité. Phebe est un objet conversationnel
qui est positionné comme le chaînon manquant entre
une appli et l’IA profonde.
Le numérique est omniprésent, mais finalement peu interopérable,
nos doudous connectés ont du mal à fonctionner avec
d’autres produits existants (ou futurs) sans restriction d’accès
ou de mise en oeuvre. Par ailleurs, la question de la donnée, des
datas, est enfin devenue un sujet de science et de société.
C’est là que Phebe matérialise un questionnement à la fois
simple et ambitieux : sommes-nous prêt à mettre à disposition
de nombreuses données personnelles si elles s’avèrent utiles
pour nous fournir des prestations qui anticipent nos besoins et
facilitent la vie au quotidien ? Accepterions-nous de payer pour
nous voir proposer des services, « poussés » au bon moment,
forts de la connaissance de Phebe de son utilisateur et de son
catalogue de services ?
Un modèle faisant finalement le pari d’une relation adulte et
consentie.
Par le biais d’un sujet passionnant, l’électrification d’un vélo, “Hope & Bike” propose à des jeunes adultes issus de milieux défavorisés d’acquérir puis de transmettre des compétences et un savoir-faire en mécanique, électronique, conception et fabrication assistée par ordinateur.
Un projet à forte valeur sociale mais aussi sociétale puisqu’il est question de rendre financièrement et techniquement accessible un moyen de transport propre allant dans le sens d’une mobilité douce à l’échelle urbaine et périurbaine. “Hope and Bike” favorise en cela la mobilité professionnelle de jeunes inscrits dans un processus d’insertion.
Après le confinement, nous étions nombreux à penser que le monde d’après serait accueillant pour les mobilités douces, qu’une transition était amorcée pour des routes plus sûres, partagées et accueillant davantage de vélos. En effet, les pays où les cyclistes sont les plus nombreux sur la route, sont également ceux où il y a le moins d’accidents par kilomètre parcouru à bicyclette.
Nous étions nombreux à avoir cru ou rêvé, qu’avec le confinement nous resterions tous avec nos nouveaux modes de mobilités douces, que les solidarités qui se sont révélées lors du confinement se seraient étendues au domaine de la route, … Mais en fait non.
Comment se débarrasser des véhicules garés sur les pistes cyclables ? Comment évacuer les espaces préventifs devant les feux tricolores ? Avec quel outil tronçonner les portières qui s’ouvrent par manque de vigilance ? Peut-on exempter les conducteurs qui vous doublent de trop prêt ? Dans un esprit à la fois potache mais militant, provocateur mais intriguant, radical mais bienveillant, nous vous proposons de venir imaginer, concevoir et prototyper les armes d’autodéfenses qui seront dès demain nécessaires aux cyclistes pour survivre à la loi de la route.
Les objectifs revendiqués de l’atelier sont d’éclairer par la créativité les enjeux et les tensions qui sont liés à la cohabitation entre différents modes de mobilités, de libérer aussi la parole et d’incarner le conflit pour pouvoir le dépasser, de maintenir la violence dans le domaine de la fiction pour s’en prémunir comme pour la prévenir. La rencontre sera également l’occasion de rencontrer et découvrir différents acteurs qui promeuvent la mobilité à vélo en Région comme en France, tout en s’initiant aux méthodes de design fiction comme aux outils du FabLab.
On vous attend le vendredi soir de 19h30 à 22h30 et le samedi à 10h30, 14h et 15h30 et 17h pour enrichir ou prolonger les projet de la veille. Aucune connaissance ou compétence particulière, notamment en conception assistée par ordinateur, n’est nécessaire pour participer à cet atelier. Savoir faire du vélo est un plus et maker·e·s bienvenu·e·s.
Environnement, santé, formation, solidarité, inclusivité… La mobilité s’inscrit dans de nombreux enjeux de société et d’avenir, quelle que soit la taille des territoires concernés. Elle reste un des principaux déterminants de l’insertion sociale et professionnelle. Comment garantir ce droit à la mobilité pour tous tout en incitant les plus mobiles à se déplacer mieux ? Quelles solutions de transport et d’intermodalité imaginer en milieu rural et rurbain ? Comment empêcher que la fracture sociale entre mobiles et immobiles ne grandisse et se reflète dans les modes d’aménagement du territoire ? Quels usages, objets, services ou technologies peut-on collectivement imaginer et développer ? Autant de questions qui seront de plus en plus pressantes dans les années à venir.
C’est pourquoi, sans attendre la loi d’orientation sur les mobilités, la Région Normandie souhaite se positionner en laboratoire d’essai de solutions de mobilité sur les zones peu denses. La première étape est Mobil’Hack Normandy : une grosse journée marathon et créative pour explorer et proposer des modes de transport et de mobilité qui ne laisseront aucun territoire sans solution dans le Turfu. Plusieurs territoires seront proposés comme autant de cas spécifiques et de terrains de réflexions. Une douzaine de groupes seront constitués et le soir venu, les projets les plus prometteurs seront sélectionnés afin d’envisager leur développement et mise en œuvre réelle.
Plus d’information sur le site de la Région Normandie.
Le numérique est omniprésent, mais finalement peu interopérable, en ce sens que tous nos doudous connectés ont quand même du mal à fonctionner avec d’autres produits existants (ou futurs) sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Par ailleurs, la question de la donnée, des datas, est enfin devenue un sujet de science et de société.
C’est là que Phebe matérialise un questionnement à la fois simple et ambitieux : sommes-nous prêt à mettre à disposition de nombreuses données personnelles si elles s’avèrent utiles pour nous fournir des prestations qui anticipent nos besoins et facilitent la vie au quotidien ? Accepterions-nous de payer pour nous voir proposer des services, « poussés » au bon moment, forts de la connaissance de Phebe de son utilisateur et de son catalogue de services ?
Un modèle faisant finalement le pari d’une relation adulte et consentie.
Lors de cet atelier, vous allez rencontrer une IA, faible, mais incarnée (voix naturelle), qui ne questionne pas, mais est capable de discuter. Il vous sera possible d’échanger avec ses concepteurs et de proposer différents scénarios d’usage, d’interaction et de relations avec un tel “objet”.
Un temps sera également consacré à la question des données : quelle mise à disposition consentie, quel accès, quelle ré-appropriation, nécessitant quelle connaissance et quel accompagnement… ?