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Espèce de résidu de chiasse, charogne, niquedouille, coprolithe, suce ma crotte, … et le fameux jus de pus ! Et si, pour ne plus se tromper de cible, on imaginait les insultes du futur, de celles qui font mal et visent bien ?
Nos insultes et gros mots sont souvent à caractère xxxphobe et/ou xxxiste. Que l’on casse son mug préféré, ou qu’on ait besoin de remettre à sa place une personne odieuse, on se retrouve à insulter et parfois blesser des gens qui ne nous ont rien fait. Dommage collatéral. Et si on pouvait l’éviter ? Ce vendredi soir, nous vous proposons de créer ensemble en 4 temps les insultes et gros mots les plus crasses qui soient, mais sans oppression parallèle :
1/ On se rend compte de ce que l’on dit et à qui ça fait mal 2/ On comprend d’où viennent nos insultes et on déconstruit 3/ On crée, on imagine des gros mots et des insultes qui n’offensent que la personne (ou l’objet, ou la situation) visée 4/ On fabrique des cartes, des affiches, des T-shirt (à partir de ceux que vous aurez apporté), un générateur d’insultes …
Vous repartirez avec votre propre lexique d’insultes bien senties à ressortir à la première occasion.
« Il faut absolument que tu lises « Principes du développement d’une conscience éclairée des futurs possibles ». Quoi ? Tu ne connais pas ? Mais pourtant c’est passionnant, ça donne plein de clefs pour comprendre notre société. »
Et nous voilà avec un autre livre que nous ne lirons jamais. Nous, les personnes qui ne lisons pas ou peu, ou lentement, ou lorsque l’on est vraiment obligé, les gens qui préférons les romans, les nouvelles ou les BD, qu’ils soient fantastiques, à l’eau de rose ou policiers, nous que les essais politiques, sociologiques ou philosophiques effraient ou rebutent immanquablement en quelques pages, ce n’est pas que ça ne nous intéresse pas,… Juste ce n’est pas pour nous, c’est tout, même si, peut-être, on aimerait bien.
Alors comment pourrions nous avoir accès, critiquer ou partager ces écrits apparemment essentiels ? Quelle serait la méthode permettant à chacun d’avoir accès à l’expertise contenue dans ces ouvrages ? Ou alors …
On pourrait faire un arpentage.
Il s’agit de prendre un livre, de le découper (littéralement) en petits morceaux d’une dizaine de pages. Chaque personne s’attelle à la lecture des 10 pages qui lui ont été attribuées . Elle dégage les idées fortes, les éléments intéressants. Puis le groupe se réunit et chaque personne partage le contenu de ses dix pages. A l’issue de cet atelier, les personnes participantes auront lu et compris collectivement un ouvrage parmi une liste qui sera élaborée de façon participative en amont du festival.
Pour les ateliers du mardi et du mercredi, nous vous proposons d’enregistrer cette restitution pour en faire un podcast et ainsi la partager avec le plus grand nombre.
« Il faut absolument que tu lises « Principes du développement d’une conscience éclairée des futurs possibles ». Quoi ? Tu ne connais pas ? Mais pourtant c’est passionnant, ça donne plein de clefs pour comprendre notre société. »
Et nous voilà avec un autre livre que nous ne lirons jamais. Nous, les personnes qui ne lisons pas ou peu, ou lentement, ou lorsque l’on est vraiment obligé, les gens qui préférons les romans, les nouvelles ou les BD, qu’ils soient fantastiques, à l’eau de rose ou policiers, nous que les essais politiques, sociologiques ou philosophiques effraient ou rebutent immanquablement en quelques pages, ce n’est pas que ça ne nous intéresse pas,… Juste ce n’est pas pour nous, c’est tout, même si, peut-être, on aimerait bien.
Alors comment pourrions nous avoir accès, critiquer ou partager ces écrits apparemment essentiels ? Quelle serait la méthode permettant à chacun d’avoir accès à l’expertise contenue dans ces ouvrages ? Ou alors …
On pourrait faire un arpentage.
Il s’agit de prendre un livre, de le découper (littéralement) en petits morceaux d’une dizaine de pages. Chaque personne s’attelle à la lecture des 10 pages qui lui ont été attribuées . Elle dégage les idées fortes, les éléments intéressants. Puis le groupe se réunit et chaque personne partage le contenu de ses dix pages. A l’issue de cet atelier, les personnes participantes auront lu et compris collectivement un ouvrage parmi une liste qui sera élaborée de façon participative en amont du festival.
Pour les ateliers du mardi et du mercredi, nous vous proposons d’enregistrer cette restitution pour en faire un podcast et ainsi la partager avec le plus grand nombre.
Comment ne pas exclure d’une activité ou d’une pratique culturelle dès la communication sur un événement ? Comment s’assurer que les manifestations et espaces culturels qui se réclament “tous publics” ne se contredisent pas dès la communication et leurs premiers écrits ?
Le Dôme est un espace collaboratif d’innovation qui se veut ouvert à tous les publics. Et pourtant : comment être réellement ouvert à tout le monde ? Comment faire en sorte que dès le premier tweet rencontré, dès la première affiche vue, dès la première conversation, chaque personne se sente réellement bienvenue ? Comment faire au mieux pour que chaque personne sache qu’elle sera accueillie, écoutée, entendue, consultée ?
Nous vous proposons de réfléchir ensemble à ces questions, à travers le prisme de la langue. Langue écrite, langue parlée, langue signée, transferts de l’une à l’autre par des logiciels et des réseaux… À quoi ressemble une langue qui parlerait à tout le monde ? Avec quels mots ? Quelles typographies ? Quels signes ? Quelle orthographe même ?
Vous êtes une personne concernée ? Vous pensez qu’on peut mieux faire en matière d’écriture de la langue ? Vous éprouvez des difficultés pour accéder aux informations ou vous vous sentez parfois (souvent ?) exclu⋅e ? Vous aimez jouer avec les mots et les usages, ou même tout ça à la fois ? Nous attendons avec impatience votre contribution à cet atelier !
Dans cet atelier, les personnes participantes auront l’occasion d’imaginer ensemble de futures règles d’écriture qui seront testées au Dôme et, plus largement, des préconisations pour la communication dans les secteurs de la culture, de la science et de l’innovation.
Cet atelier sera suivi, l’après-midi par un travail collectif de rédaction des différentes propositions que nous aurons imaginées le matin, toute personne ayant participé à la matinée est la bienvenue pour contribuer à cette rédaction dans les locaux du Dôme.
Vous aimeriez co-construire cet atelier avec nous ? N’hésitez pas à prendre contact : gdupuy@ledome.info malvina.artheau@gmail.com sebastien.magro@gmail.com
Si les jeux vidéo semblent s’adresser à l’ensemble de la population sans distinction d’âge, de genre, d’origine, de niveau social ou scolaire, leur accessibilité reste aujourd’hui encore limitée pour les 12 millions de personnes en situation de handicap. Par ailleurs, les modes d’interactions et de collaborations restent très restreints et les contrôleurs invitant à de nouveaux modes d’interactions physiques ou de collaborations inter-joueurs restent trop limités.
Le temps d’un atelier, venez imaginer, concevoir et prototyper des “manettes” ou modes de jeux introduisant de nouvelles postures, de nouvelles collaborations et une accessibilité pour le plus grand nombre. Cet atelier sera également l’occasion de découvrir des outils et des initiatives déjà existants tout en s’initiant aux machines du Fab Lab ou à des outils de code créatif.
Aucune connaissance préalable n’est nécessaire pour participer à cet atelier. Les personnes en situation de handicap souhaitant soumettre leurs vécus sont particulièrement les bienvenues !
L’extension rapide de la dématérialisation des services est constitutif d’un phénomène aujourd’hui bien connu sous le nom de fracture numérique.
La lutte contre cette fracture, si elle est parfois décrite comme un néo-colonialisme, reste une préoccupation de nombreux acteurs associatifs, socio-culturels et éducatifs mais aussi administratifs.
Et lorsqu’elle concerne une limitation dans l’accès aux services sociaux, cette inclusion numérique devient plus urgente puisqu’elle doit permettre à la population d’avoir accès et faire valoir ses droits.
Comment mixer numérique et supports papier traditionnels ? Comment éviter la déambulation administrative de service en service et de bureau en bureau pour les usagers ? Quelles cartographies des territoires et des droits sociaux imaginer ? En s’appuyant sur les cas concrets de plusieurs territoires expérimentaux du Calvados, cet atelier propose de concevoir des usages et services impliquant autant la population que les accueillants. Il sera aussi l’occasion de s’initier aux principes et enjeux de l’inclusion numérique ou à l’accompagnement de bénéficiaires des droits sociaux.