Bien plus qu’un simple projet de création d’un kit open-source
d’électrification de vélo !
Par le biais d’un sujet passionnant, l’électrification d’un vélo,
“Hope & Bike” propose à des jeunes adultes issus de milieux
défavorisés d’acquérir puis de transmettre des compétences
et un savoir-faire en mécanique, électronique, conception et
fabrication assistée par ordinateur.
Un projet à forte valeur sociale mais aussi sociétale puisqu’il
est question de rendre financièrement et techniquement
accessible un moyen de transport propre allant dans le sens
d’une mobilité douce à l’échelle urbaine et périurbaine. “Hope
and Bike” favorise en cela la mobilité professionnelle de jeunes
inscrits dans un processus d’insertion.
SOIRÉE COMPLÈTE !
L’une des plus célèbres règles informelles de l’Internet stipule que « si ça existe, il y a du porno à ce sujet ». Sous peine d’être voué à l’inexistence, le festival se doit donc d’inventer le porno du turfu. Quelles sexualités, quelles représentations, quelles identités émergeront ? Irons-nous vers le foisonnement des corps, la multiplicité des sécrétions, l’hybridation ? Ou vers le contrôle, voire l’aseptisation ? Quelles pratiques, quels plaisirs, quels rôles, quels genres se mélangeront ? Qui y sera représenté, et comment ? L’intelligence artificielle, la technologie blockchain ou les mouvements open-source transformeront-ils notre sexualité ? Un orgasme peut-il être disruptif ?
Déçues et déçus du porno, rassemblons-nous pour co-créer, le temps d’une soirée, les représentations sexuelles du futur. Un verre à la main, entrez dans notre safe space et laissez les échanges fertiliser votre imaginaire. Donnez corps aux idées pour constituer, en fin de soirée, la première exposition en crowdsourcing sur le futur des sexualités.
VOIR LA SYNTHESE DE L’ATELIER
Le workshop se déroulera en 2 temps :
- Temps I : les participants assemblent une réplique de deux des trente piliers qui portent la galerie vitrée de l’Université de Caen. Comme les piliers originaux, les deux maquettes seront gravées à l’effigie de la Reine Mathilde et de Guillaume Le Conquérant.
- Temps 2 : les deux maquettes serviront de support pour imaginer des vêtements, revêtements, objets du quotidien, mobiliers urbains, capables d’interactions numériques, visuelles et/ou sonores.
Qu’elles soient à vocation purement créative, inspirées par le Yarn Bombing, ou en lien avec des thématiques liées au corps ou aux handicaps, les expérimentations seront l’occasion de s’initier tant aux outils du FabLab qu’au code créatif.
L’atelier fera la part belle à l’association Cité Môme de Rouen.
Cette dernière développe de nombreux projets autour du tricot et du Yarn Bombing. Elle récolte par exemple des “carrés” de tricot déposés un peu partout sur le territoire au sein de « boîtes à carrés ». 150 000 carrés ont ainsi été récoltés en 2016. Ces carrés « citoyens » servent à la réalisation d’installations artistiques ou au tricot « social » avec par exemple, la création de couvertures pour les nouveaux-nés. Ce projet sera donc l’occasion d’inaugurer une « boîte à carrés » pour la collecte de ces petits fragments de tricots au Dôme.
Pendant la crise du COVID, les initiatives collaboratives et ouvertes pour imaginer et fabriquer du matériel à destination des soignants se sont multipliées. Ces contributions solidaires ont joué un rôle essentiel dans la gestion de la crise. Elles ont apporté une aide et des solutions en réponse à l’épidémie.
Parmi les solutions, on retrouve les visières, les masques, les crochets et embouts à poignée de porte, les protections des personnels lors de l’intubation, les systèmes respiratoires, détecteurs de température… Les prototypes se sont multipliés et portent de réels potentiels d’innovation populaire.
Lors de cet atelier, vous pourrez découvrir les outils et les objets qui ont ainsi été produits. Vous serez aussi invités à critiquer les objets existants, à faire part de votre propre expérience, mais surtout vous serez invités à imaginer, enrichir, prototyper et documenter les outils qui nous seront nécessaires lors de futures crises sanitaires.
Aucune connaissance préalable, notamment en santé ou conception assistée par ordinateur n’est requise pour participer à cet atelier. Cet atelier sera également l’occasion de se confronter aux réalités et conditions de travail des personnels de santé tout en s’initiant aux outils et machines du Fab Lab du Dôme.
Imaginons un monde où des drones survolent nos villes, nos rues et nos jardins, identifient notre sexe, mesurent notre température, contrôlent notre identité, alertent les forces de police et nous dressent des contraventions. Ce scénario de science fiction digne de dystopies encore impossible à accepter il y a quelques mois est entré dans notre quotidien par la petite porte de la crise mondiale, comme un simple fait divers parmi d’autres…
On est loin des promesses de drones qui promènent votre chien, vous livrent des masques, du gel ou les premiers secours en cas de besoin. Qu’on se le dise, dans le monde d’après, les drones seront là pour nous verbaliser et transmettre des données sur nos activités. Alors si on commençait dès à présent à s’en débarrasser ? Et si nous imaginions et fabriquions les outils et les armes qui nous permettront de nous défendre contre les drones ?
Quelles tourelles et pilotage de missiles installer sur son balcon ?
Comment nourrir et dresser un aigle pour attaquer les drones ?
Quelle crème visage choisir pour ne plus être mesuré ?
Quel masque de membre du gouvernement faut-il revêtir pour être sûr de ne pas être importuné ?
Autant de questions et tant d’autres que vous pourrez imaginer, fabriquer et documenter lors de la soirée. Dans un esprit à la fois potache mais militant, provocateur mais intriguant, radical mais bienveillant, nous vous proposons de venir imaginer, concevoir et prototyper les armes d’autodéfenses qui nous seront dès demain nécessaires pour nous débarrasser des drones et de leur intrusion dans l’espace public… et privé ?
Les objectifs revendiqués de cet atelier sont d’éclairer par la créativité les enjeux et les tensions qui sont liés à l’extension du domaine de la sécurité et de la surveillance avec les drones sous couvert de crise sanitaire. Il sont de libérer aussi la parole et d’incarner la controverse pour pouvoir la dépasser, de maintenir la violence dans le domaine de la fiction pour s’en prémunir comme pour la prévenir.
Cet atelier sera également l’occasion de s’initier aux méthodes de design fiction comme aux outils du FabLab et du code créatif. Aucune connaissance préalable n’est requise pour participer, seules comptent votre envie de participer et votre curiosité.
Dans cet atelier interdisciplinaire, nous réfléchirons ensemble à de nouvelles interactions et de nouveaux usages pour repenser les interactions numériques du tout-petit.
À l’interface entre Science et Design, le projet e-gloo concilie deux objectifs : offrir une expérience interactive à l’enfant et permettre la récolte de données pour la recherche. L’e-gloo est avant tout un espace ludique pensé pour le tout-petit que celui-ci explore en confiance guidé par une histoire interactive. Cette expérience riche pour l’enfant permet parallèlement de récolter des données qui témoignent du comportement de l’enfant dans un environnement sécurisant. L’e-gloo est un laboratoire mobile, un espace confortable et équipé d’un système de captation vidéo. L’e-gloo s’adapte à chaque recherche à travers le choix du scénario expérientiel présenté à l’enfant.
Dans une démarche interdisciplinaire, nous réfléchirons ensemble à de nouvelles interactions et de nouveaux usages ouvrant la voie à de nouveaux questionnements de recherche pour l’e-gloo. L’atelier est ouvert aux designers, chercheur.e.s, spécialistes du développement, ingénieur.e.s, ou simplement curieux.se.s de découvrir l’e-gloo.
L’une des plus célèbres règles informelles de l’Internet stipule que « si ça existe, il y a du porno à ce sujet ». Sous peine d’être voué à l’inexistence, le festival se doit donc d’inventer le porno du turfu. Quelles sexualités, quelles représentations, quelles identités émergeront ? Irons-nous vers le foisonnement des corps, la multiplicité des sécrétions, l’hybridation ? Ou vers le contrôle, voire l’aseptisation ? Quelles pratiques, quels plaisirs, quels rôles, quels genres se mélangeront ? Qui y sera représenté, et comment ? L’intelligence artificielle, la technologie block chain ou les mouvements open source transformeront-ils notre sexualité ? Un orgasme peut-il être disruptif ?
Déçues et déçus du porno, rassemblons-nous pour co-créer, le temps d’une soirée, les représentations sexuelles du futur. Un verre à la main, entrez dans notre safe space et laissez les échanges fertiliser votre imaginaire. Donnez corps aux idées pour constituer, en fin de soirée, la première exposition en crowdsourcing sur le futur des sexualités.
Boisson et restauration disponibles.
Places limitées, inscription conseillée.
La médecine et la santé font face aujourd’hui à de nombreux défis : explosion des maladies chroniques, vieillissement de la population, renforcement de l’auto- et de la télé-médication, nécessité d’une meilleure organisation structurelle, territoriale et de proximité de réels parcours de santé, formation des professionnels, information de la population…
Et cette évolution se fait dans un contexte d’économie du partage, du service et Do It Yourself. Autant de pistes qui se traduisent dans la littérature professionnelle par l’évolution vers une santé personnalisée, prédictive, préventive et participative.
Après un tour d’horizon des technologies les plus emblématiques de ces dernières années dans le domaine de la santé et du handicap, les participants seront invités à imaginer et construire des parcours d’usages où numérique et nouvelles technologies seront porteurs de solutions. Ces propositions serviront de base et d’inspirations pour l’organisation du start-up week-end organisé au Dôme à l’occasion de la semaine pour l’emploi des personnes handicapées.